Peinture

C'était l'actrivité prévue ce matin. Il pleut, pas de sorties, ce n'est pas grave nous sommes sortis tous les jours de la semaine dernière et du coup nous n’avons fait aucune activité manuelle, il est temps de se rattraper !

J'ai prévu de leur faire faire cette carte de voeux, qui de partage en partage est apparu un jour sur mon mur facebook :
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Publication de La boîte à idées de Sophie.

Mais ce matin une nouveauté : nous allons peindre dans la véranda. Je dois me contenter de la petite table de salon si je veux que les enfants soient à bonne hauteur, c'est la pédagogie que je vais essayer d'appliquer désormais : laisser les enfants libres de leur mouvement... mais combien elle avait de mains Maria Montessori ???

Lucie a eu un mauvais réveil et ne veut pas peindre. Edwin est partant, je lui fait faire son empreinte puis je le laisse jouer librement avec la peinture, j'ai scotché des feuilles sur la table. Lucie s'est enfin décidée à enfiler son tablier, mais ne veut pas faire l'empreinte, tant pis elle peint librement.

Edwin s'éloigne de la table, les mains bariolés de peinture il s'avance vers la cuisine... "Edwin si tu ne veux plus peindre attend je vais te laver les mains et t'enlever le tablier !", chose faite, Edwin décide finalement de retourner vers la table de peinture... "bon tu veux peindre finalement, je te remet le tablier", tablier peinturluré remis il se dirige à nouveau vers la cuisine... je lui enlève le tablier et je laisse tomber, je lui interdit l'accès à la table de peinture et il n'est pas trop content, et moi je n’aime pas quand les enfants ne sont pas contents...

Lucie a pas mal badigeonné, l'avantage c'est qu'à cette hauteur elle ne frotte pas ses manches dans la peinture. Ces mouvements sont plus grands, elle peint le centre de la feuille, en principe elle peint le coin qui est à sa portée. Pour le rouleau également elle arrive à prendre la peinture dans le couvercle prévu pour.

Je trouve que c'est une belle expérience lorsque que l'on n'a qu'un seul enfant en accueil, finalement s'ils sont deux ou plus, on ne peut pas se permettre de laisser les uns partir et revenir à leur guise.