mercredi 30 septembre 2020

Visite du village

À la demande de Gabriel nous avons fait une visite quasi complète du village, heureusement il n'est pas immense.

Nous voilà donc partis pour une marche de presque 3 kms, 1h30, dénivelé de 41 mètres (j'aurai cru plus), avec 55 kg à pousser (la poussette et ses passagers, pas moi hein), 5200 pas (c'est mon jouet qui me le dit), palpitant monté à 145, j'ai fait des pauses dans la côte au retour quand même...

Dès les premiers mètres Gabriel m'a demandé le nom des voisins, ça s'est vite corsé. On s'est rabattu sur la reconnaissance des arbres fruitiers, surtout des pommiers.

Arrivée presque en bas nous avons vu les premiers commerces ou les premières entreprises : le carrossier, on y amène la voiture quand elle est abîmée, "quand on a eu un accident" me dit Gabriel. Je lui répond que ça peut être aussi quand on n'a pas vu le poteau au moment de se garer... faudrait pas non plus associer le carrossier à un drame...

Puis nous avons vu l'école maternelle publique, là où sont scolarisés Cloé, Léa et Blondinet, la banque, la pharmacie, tiens c'est le premier logo que Gabriel a su reconnaitre si je ne me trompe pas.
Puis le café, nous avons fait le tour du parc, nous avons vu les poissons rouges (et blancs), la fontaine, la statut avec le monsieur cul nu qui s'apprête à plonger (sur la photo vous l'avez de face)




Ce qui est noirs c'est l'ombre des poissons en fait, car les poissons se confondent avec la couleur du fond... Au bout du parc : la rivière, et ses poissons, et ses algues aussi, dingue comme ça a repoussé quand on sait que les habitants ont tout nettoyé cet été...

En remontant il m'a demandé ce que c'était que ça, le clocher du temple...

Et à la sortie du parc nous nous sommes attardé un moment sur la carte du Tarn...

De retour sur l'avenue nous avons longé les quelques boutiques présentes : 3 coiffeurs, 2 boulangeries, dont une se faisait livrer de la farine, et un réfrigérateur qui sert à déposer des livres en prêt gratuit, sympa...

 

Et puis la boucherie, l'épicerie, l'école élémentaire publique, le restaurant, l'autre école, la poste (!), la mercerie... mais Gabriel n'avait d'yeux que pour la voiture de la poste, que l'on a vu plusieurs fois (pas forcément la même) et pour une toile d'araignée tissées dans une barrière et qui brillait au soleil... et tout le temps il m'a dit "allez on avance !" et au moment de rentrer il voulait visiter un autre village... 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire